22 octobre 2009
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"Lorsque je ne serai plus là, vous ne serez pas pour autant débarrassé de moi, je hanterai les sommets, nous disait René Desmaison". Son palmarès est immense avec quelque 1 000 ascensions dont 114 premières. Précurseur de l'alpinisme hivernal il devient le maître d'école des pratiquants actuels.
Le pilier Est du Pic de Bure est un de ces nombreux chef d'oeuvre. La face est raide et imposante, son rocher est parfois délicat et la recherche de l'itinéraire emprunté par René Demaison demande un peu d'attention.
Mais quel beau voyage en terrain d'aventure où il faut aimer manipuler les protections sans se laisser déstabiliser par l'engagement.

Couché de soleil depuis le chalet de Vallon d'Ane.

L'imposant Pic de Bure au levé du soleil avec le Pas du Follet encore dans l'ombre.

Pour l'intégral je décide de faire le départ assis, et nous voilà parti pour 600m d'escalade.

La seconde longueur de la voie, un 6c, n'est vraiment pas facile à enchaîner. La présence de nombreuse pédales incite à l'artif, d'ailleurs je me laisse emporter par la solution de facilité car la route est encore longue.

La paroie déja raide se redressait encore.

Pascal dans l'une des nombreuse traversées, c'est avec un grand plaisir que l'on gravit cette voie que l'on peut donner d'historique.



Regarder cette ambiance!!! on se sent vraiment petit.

Encore quelques cheminées en rocher délicat et on atteint le sommet.

Et oui Pascal tu ne peux pas mentir maintenant car j'ai la preuve que tu bois de la bière, avec modération bien sur.

Le pilier Est du Pic de Bure est un de ces nombreux chef d'oeuvre. La face est raide et imposante, son rocher est parfois délicat et la recherche de l'itinéraire emprunté par René Demaison demande un peu d'attention.
Mais quel beau voyage en terrain d'aventure où il faut aimer manipuler les protections sans se laisser déstabiliser par l'engagement.

Couché de soleil depuis le chalet de Vallon d'Ane.

L'imposant Pic de Bure au levé du soleil avec le Pas du Follet encore dans l'ombre.

Pour l'intégral je décide de faire le départ assis, et nous voilà parti pour 600m d'escalade.

La seconde longueur de la voie, un 6c, n'est vraiment pas facile à enchaîner. La présence de nombreuse pédales incite à l'artif, d'ailleurs je me laisse emporter par la solution de facilité car la route est encore longue.

La paroie déja raide se redressait encore.

Pascal dans l'une des nombreuse traversées, c'est avec un grand plaisir que l'on gravit cette voie que l'on peut donner d'historique.



Regarder cette ambiance!!! on se sent vraiment petit.

Encore quelques cheminées en rocher délicat et on atteint le sommet.

Et oui Pascal tu ne peux pas mentir maintenant car j'ai la preuve que tu bois de la bière, avec modération bien sur.
